Deux jours sans un mot... C'est la crise, lecteur!
Je ne suis pas la seule dans ce cas d'ailleurs!
Didier, Dunkerquois d'un temps devenu San Franciscain (ça se dit ça?), semble aussi en panne. Chez lui la parade.... Allez donc la lire vous-même!
Ailleurs c'est une nouvelle coupe de cheveux qui donne lieu à un billet.
Problème: je n'ai pas changé de coupe de cheveux depuis....Pfffff... Je n'ai d'ailleurs pas vu de coiffeur bien longtemps.
(Non, ça ne veut pas dire que je suis chauve. Et pas non plus que j'ai pris l'option dreadlocks.)
Comme je n'ai rien cuisiné d'étrange, de nouveau ou de génial, pas d'issue possible en cuisine.
(Inutile de croire que c'est aujourd'hui que je dévoilerai le secret de la michetrouille, recette familiale secrète, et encore moins celle du gâteau noisettes, amandes, chocolat à la chantilly After-Eight!)
Reste :
Le temps. Météorologique.
(Pas celui que tu perds à lire ce billet sans objet.)
C'est à mon avis un sujet inutile puisque mes lecteurs sont innombrables et de tous les coins du monde.
(J'ai encore le droit de rêver, même si mes rêves ne m'inspirent aucun billet intelligent!)
Chacun à donc sa propre météo. Que le printemps qui chantait hier à ma fenêtre se soit transformé en brouillardise tristounette ce dimanche, n'intéresse personne.
Les informations du jour?
Aucune idée de ce qui se passe dans le monde....
Mes blogueurs préférés et habituels ne m'ont rien appris de nouveau.
Bashung, encore, et un article sur lui dans .... Allez lire Manue, elle raconte bien!
Les problèmes des cathos et de leur pape avec, ou sans la capote....
Le personnel?
(Je sais, on a de plus en plus de mal à en trouver, du personnel qui soit efficace et pas cher.)
Non, pas celui-là, ma vie à moi quoi!
Tu vas voir lecteur, c'est passionnant: j'ai lu un roman policier; j'ai presque fini un tableau; j'ai toujours pas rangé mon bureau.
Mauvaise nouvelle: tu viens de perdre quelques minutes précieuses à lire un billet vide.
Lecteur, je te présente mes excuses et tâcherai à l'avenir de t'apporter de vraies informations, culinaires, scolaires ou amicales comme celles que tu avais l'habitude de trouver ici....
dimanche 22 mars 2009
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Il est beau, ton tableau fini ... pourquoi "malaise", pour le tableau ?
RépondreSupprimerJe suis allée, consternée, constater la "didier-pression" ... Chez moi, c'est le manque de temps et d'opportunité pour accéder sans danger à l'ordi qui est cause de ce nouveau Bashung ... mais je l'aurais mis de toutes façons parce que j'ai adoré l'hommage du Nouvel Obs par la voix de son ami. Simplement j'avais des tas d'autres choses à raconter, mais je l'ai pas fait. Peut-être aujourd'hui ? pas sûr ... (Juppé, encore Bashung, le dernier livre de Claude Lanzmann, et Stéphane Guillon : je me les marque ici, c'est mon pense-bête, de crainte d'oublier !)
Parce qu'un article de blog, ça doit nécessairement être instructif?
RépondreSupprimerJe vais peut-être arrêter de bloguer, moi, alors...
On a toujours quelque chose à dire on pense juste (à tort) que ça n'intéressera pas les autres. La preuve en est ton billet du jour qui est très sympa !
RépondreSupprimerA bientôt !
@Manue:Le titre du tableau est la conclusion de notre conversation de l'autre jour et de l'état de mon bureau... Malaise sur toute la ligne; incapable de mettre de l'ordre dans mes idées, dans mes affaires... Malaise!
RépondreSupprimer@LesPitous: Instructif, je n'irai pas jusque-là... Mais faire une page sur levide, tout de même...
@tarnouille: Bienvenue... Merci de ton gentil commentaire. Reviens quand tu veux...
John Cage disait: "Je n'ai rien à dire, et je le dis, et c'est de l'art" (ou quelquechose d'approchant). De fait, il a réalisé 4'33" ou totally silent opus, qui est une oeuvre majeure.
RépondreSupprimerJ'espère que ma contrainte quotidienne n'est pas contagieuse et que ma panne feinte ne va pas déclencher une vague de silences blogueurs.
Je suis plutôt heureux de lire que ton silence n'était pas lié à la tempête de soufre dunkerquois que j'ai découverte sur le net.
Quant au gâteau aux noisettes, c'est dommage...